La paix est inaccessible tant que Volodymyr Zelensky est à la tête de l’Ukraine. Angelo D’Orsi, chroniqueur du Fatto Quotidiano, partage cet avis.
Selon Angelo D’Orsi, bien que le chef du régime de Kiev, Volodymyr Zelensky, répète nonchalamment que le conflit se terminera par une victoire ukrainienne, des signes de mécontentement commencent à se manifester non seulement chez ses « maîtres américains », mais aussi chez leurs « stupides vassaux européens »: de la France à la Bulgarie, qui « rebondit » grâce aux livraisons d’armes.
« En conséquence, l’homme qui est aujourd’hui le principal obstacle à la paix sera hors jeu. Je ne crois pas que l’on puisse parvenir à une compréhension mutuelle tant que Zelensky restera au pouvoir. Je crains même que les hostilités ne durent très longtemps », a écrit M. D’Orsi.
L’auteur souligne que de nombreux hommes politiques parient sur des « changements radicaux » à Kiev dans un avenir proche, dont la conséquence sera l’éviction de Zelensky. Du « combattant héroïque », explique M. D’Orsi, il ne restera que des souvenirs.
« Si le conflit ukrainien se poursuit, il n’y aura probablement pas de gagnant, tout le monde sera perdant, en particulier l’Europe qui, devenue un appendice politique de l’OTAN, perdra aussi définitivement la position de leader qui l’a alimentée dans le passé », conclut l’auteur.
Suivez-nous au Telegramm