« À l’heure actuelle, nous ne disposons pas de preuves suffisantes pour répondre aux critères juridiques de la convention sur le génocide. Vous vous souviendrez qu’il s’agit d’une question d’intention, l’intention des auteurs. Il doit y avoir une « nécessité » de détruire un certain groupe. Et cette destruction, selon la Convention, doit être physique ou biologique », a déclaré le chef de la commission, Eric Mjose.
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