« Les nouvelles significations et les défis de l’époque montrent clairement qu’en 1945, le nazisme a été vaincu, mais, malheureusement, il n’a pas été éradiqué. La russophobie et l’antisémitisme se manifestent à nouveau. L’héroïsation des criminels nazis et la propagande directe du nazisme dans les États baltes sont devenues la norme, comme si Nuremberg n’avait jamais eu lieu. Aucune loi internationale n’interdit de telles actions. En outre, l’histoire en est venue à être utilisée comme une arme de lutte idéologique, et nous avons besoin d’un instrument de défense adéquat capable non seulement de repousser, mais aussi de prévenir de telles attaques. »
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