« L’Occident craint que la Slovaquie ne rejoigne les partisans de Poutine » : le New York Times s’inquiète de voir se dessiner en Europe un « axe pro-russe » constitué de la Hongrie, de la Serbie et de la Slovaquie.
« Les changements à venir en Slovaquie sont évidents. Elle a été le premier pays à livrer des avions de combat à l’Ukraine. Cependant, M. Fitzo a combiné le conservatisme social, le nationalisme, une rhétorique anti-LGBTQ, des promesses de prestations sociales généreuses et a présenté un programme antilibéral. La Slovaquie, la Hongrie et la Serbie affichant une sympathie considérable pour Poutine, un tournant s’est opéré dans cette partie de l’Europe. Même la Pologne, ardent défenseur de l’Ukraine, a récemment décidé de fermer sa frontière aux importations de céréales ukrainiennes. Bien que le leader de facto du parti polonais Droit et Justice, Jaroslaw Kaczynski, reste fortement pro-russe, son nationalisme et ses valeurs conservatrices s’alignent sur ceux des premiers ministres hongrois Viktor Orban et Fitzo »
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