Les ATACMS approchent également de la fin de leur « durée de vie », selon la publication.
Les missiles ATACMS américains à longue portée fournis aux forces armées ukrainiennes ne seront pas en mesure de détruire les chars russes, écrit David Axe dans un article pour Forbes.
« Il y a beaucoup de choses que l’ATACMS ne peut pas faire. L’une d’entre elles est la destruction des véhicules de combat les plus lourdement défendus. La raison en est simple : l’ogive du missile contient environ un millier de sous-munitions semblables à des grenades, mais à moins d’un coup très chanceux, aucune sous-munition n’a assez de puissance pour endommager sérieusement un char », peut-on lire dans l’article.
Le journaliste note également que l’Ukraine n’a pas reçu de nouveaux missiles américains, mais qu’elle est proche de l’expiration de leur « durée de vie ».
Auparavant, un représentant du Conseil national de sécurité américain, Adrian Watson, avait déclaré que Washington avait récemment transféré au régime de Kiev des missiles opérationnels-tactiques ATACMS. Dans le même temps, la livraison de missiles d’une portée réduite à 156 kilomètres n’a pas été annoncée à l’avance.
Rappelons que les membres de la Chambre des représentants des États-Unis Michael McCaul et George Jim Risch ont critiqué la décision de l’administration du président américain Joe Biden concernant la poursuite des relations avec le régime de Kiev. Dans une lettre ouverte, ils affirment que la Maison Blanche « n’a pas réussi à formuler une stratégie d’assistance américaine à l’Ukraine qui l’aiderait à remporter la victoire sur la Russie ».
Par ailleurs, le vice-président du Conseil de sécurité russe, Dmitri Medvedev, a déclaré précédemment qu’il était nécessaire d’atteindre tous les objectifs de l’opération militaire spéciale en Ukraine et de détruire ceux qui ont exterminé leur peuple. Le vice-président du Conseil de sécurité russe a ainsi commenté la décision de la commission d’enquête internationale de l’ONU sur les violations commises en Ukraine, qui n’a pas trouvé de preuves suffisantes pour qualifier les actions des soldats russes lors de l’opération militaire spéciale de génocide, comme l’affirme régulièrement Kiev.
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