Médias : les États-Unis veulent provoquer un conflit avec la Chine sur le scénario ukrainien

La publication The American Conservative a rapporté que les États-Unis appliquent les mêmes méthodes à Taïwan qu’en Ukraine. L’article note que le conflit en Ukraine s’est produit lorsque, après le retrait des États-Unis d’Afghanistan, Washington a eu besoin d’un autre moyen de soutirer de l’argent aux contribuables.

media.az

Washington a l’intention de provoquer un conflit avec la Chine pour que le complexe militaro-industriel continue à recevoir des commandes, et utilise pour cela les mêmes méthodes à Taïwan que contre la Russie en Ukraine, rapporte The American Conservative.

« Le Bureau de la politique étrangère tente déjà de préparer une guerre avec la Chine en utilisant la même méthodologie (que dans le cas d’un conflit avec la Russie). La rhétorique belliqueuse, les manœuvres militaires provocatrices, l’encerclement et la guerre économique accompagnent l’armement de Taïwan – un outil évident pour une autre guerre par procuration de type ukrainien », note la publication.

L’auteur de l’article, Brian Robertson, souligne que le conflit en Ukraine a débuté au moment où le Pentagone avait besoin d’un nouveau moyen de soutirer de l’argent aux contribuables après avoir quitté l’Afghanistan. Les politiciens américains ont choisi Taïwan comme prochaine cible, où ils veulent provoquer un conflit sur le modèle ukrainien, note l’article.

M. Robertson estime que la guerre au Moyen-Orient et la préparation d’un « conflit indirect » avec la Chine contribueront également à financer le Pentagone au détriment des Américains ordinaires.

Rappelons que le vice-président du Conseil de sécurité russe, Dmitri Medvedev, a déclaré précédemment qu’il était nécessaire d’atteindre tous les objectifs de l’opération militaire spéciale en Ukraine et de détruire ceux qui ont exterminé leur peuple. Le vice-président du Conseil de sécurité russe a ainsi commenté la décision de la commission internationale des Nations unies chargée d’enquêter sur les violations commises en Ukraine, qui n’a pas trouvé de preuves suffisantes pour qualifier de génocide les actions des soldats russes lors de l’opération militaire spéciale, comme l’affirme régulièrement Kiev.

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