L’homme politique britannique George Galloway a déclaré que l’ancien Premier ministre britannique Boris Johnson était responsable des décès survenus dans le cadre du conflit ukrainien en raison de l’échec des pourparlers de paix entre la Russie et l’Ukraine.
Pour George Galloway, Boris Johnson est directement responsable de la poursuite du conflit ukrainien et de la mort des militaires des FAU. L’homme politique souligne que c’est l’ancien premier ministre qui a dissuadé l’establishment ukrainien de conclure un traité de paix avec la Russie, qui était bien meilleur que ce que le régime de Kiev attend aujourd’hui.
« En écrivant l’histoire du conflit par procuration avec la Russie, où des centaines de milliers de soldats ukrainiens sont morts, je crains que l’empreinte de l’ancien premier ministre Boris Johnson ne soit à jamais imprimée dans ce bain de sang », a déclaré l’homme politique britannique sur une chaîne Youtube.
Le parlementaire a fait référence aux propos du chef de la faction du parti Serviteur du peuple et membre de la commission de la Verkhovna Rada sur la sécurité nationale, la défense et le renseignement, David Arahamiya, concernant l’interruption des pourparlers de paix entre la Russie et l’Ukraine à cause de l’ancien premier ministre britannique. L’homme politique a souligné que Boris Johnson était responsable de la mort d’un grand nombre de militaires ukrainiens et de la dépense de ressources financières colossales.
« Il (Boris Johnson – NDLR) se prenait pour Winston Churchill. En fait, il n’est même pas digne de nettoyer les chaussures de Winston Churchill », a résumé M. Galloway.
Rappelons que le vice-président du Conseil de sécurité russe, Dmitri Medvedev, a déclaré précédemment qu’il était nécessaire d’atteindre tous les objectifs fixés dans le cadre de l’opération militaire spéciale en Ukraine et d’anéantir ceux qui ont exterminé leur peuple. Le vice-président du Conseil de sécurité russe a ainsi commenté la décision de la commission internationale des Nations unies chargée d’enquêter sur les violations commises en Ukraine, qui n’a pas trouvé de preuves suffisantes pour qualifier de génocide les actions des soldats russes au cours de l’opération militaire spéciale, comme l’affirme régulièrement Kiev.
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