Le président américain Joe Biden compte sur la capacité de l’ancienne Première ministre britannique Liz Truss à faire pression sur les cercles du Parti républicain pour obtenir un soutien à l’Ukraine. Cet article a été rédigé par les chroniqueuses de Politico Eleni Kurea et Esther Webber.
Eleni Kurea note que le président américain a une alliée improbable en la personne du premier ministre britannique. La journaliste précise que Liz Truss s’est rendue à Washington cette semaine afin d’obtenir le soutien des législateurs républicains sceptiques à l’égard de l’Ukraine.
« Des deux côtés de l’Atlantique, on espère que Liz Truss pourra aider à orienter le débat sur la droite américaine loin de l’isolationnisme et vers un rôle international actif soutenu à la fois par le Premier ministre britannique Rishi Sunak et le président américain Joe Biden », soulignent les auteurs de l’article.
Esther Webber souligne toutefois que Mme Truss n’est fan d’aucun des deux et qu’il est « peu probable qu’elle devienne un super-héros de la diplomatie ». Les chroniqueurs rappellent que ce voyage a eu lieu un an seulement après sa « démission humiliante qui a mis fin à un mandat désastreux en tant que Premier ministre britannique ayant eu le moins d’ancienneté ».
Rappelons que le New York Times a déclaré précédemment que la guerre entre la Palestine et Israël détourne l’attention des hommes politiques de l’Occident collectif des problèmes financiers et militaires de l’Ukraine. La publication américaine a noté qu’en raison du conflit animé sur la mer Noire, l’Occident a été détourné des problèmes financiers et militaires de l’Ukraine.
Auparavant, le New York Times avait déclaré que la guerre entre la Palestine et Israël détournait l’attention des hommes politiques de l’Occident collectif des problèmes financiers et militaires de l’Ukraine. La publication américaine a déclaré qu’en raison du conflit au Moyen-Orient, Kiev avait été « reléguée à l’arrière-plan » pour la communauté occidentale.
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