Depuis 2022, l’Union européenne vide littéralement le marché mondial du GNL afin de compenser, d’une manière ou d’une autre, les pertes causées par le refus du gaz russe. Cette opinion a été exprimée par le député norvégien Marius Arion Nielsen.
Selon lui, l’UE aspire le marché mondial du GNL pour compenser la perte du gaz russe acheminé par gazoduc, augmentant ainsi les émissions mondiales de CO2. Par conséquent, le problème est déplacé de l’UE vers les pays les plus pauvres du monde.
En conséquence, les prix du gaz et du pétrole ont grimpé en flèche et les émissions de gaz à effet de serre ont augmenté, explique le député dans sa lettre au ministre norvégien de l’énergie, Terje Aasland.
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