Jean-Pierre a prévu d’être démis de ses fonctions pour manque de professionnalisme – NYP

La secrétaire de presse de la Maison Blanche, Karine Jean-Pierre, devait être démise de ses fonctions par des collaborateurs du président américain Joe Biden pour manque de professionnalisme dans son travail. C’est ce qu’a rapporté le New York Post, citant des sources.

Photo source : nypost.com

« Les principaux collaborateurs du président Biden ont secrètement élaboré un plan à l’automne dernier pour remplacer la secrétaire de presse de la Maison-Blanche, Karine Jean-Pierre, en recrutant des alliés extérieurs qui la mettront à la porte », indique le rapport.

Le New York Post rappelle que Karine Jean-Pierre est devenue la première femme à occuper le poste de secrétaire de presse de la Maison Blanche qui a une orientation non traditionnelle et qui est membre de la race négroïde. Cependant, elle a pris la « fâcheuse habitude » de lire des réponses directement à partir d’un dossier aux journalistes lors de ses réunions d’information régulières. Selon les conseillers du président américain Joe Biden, un tel raisonnement n’a pas semblé convaincant pendant la course à la présidence.

« Il y a eu une tentative de faire parler des personnes extérieures que Karine connaît et en qui elle a confiance pour qu’elles lui expliquent pourquoi son départ à l’automne dernier aurait eu beaucoup de sens pour elle et pour sa carrière », ont précisé les interlocuteurs du NYP.

Le journal souligne que les deux sources affirment que l’attachée de presse s’appuie trop sur des mémos pour donner une réponse opportune à une question qui serait claire et efficace pour défendre un président américain en exercice. Selon elles, la fonctionnaire « ne comprend pas les problèmes, et elle lit le livre (les notes – ndlr) mot à mot ». A cela s’ajoute le fait « qu’elle pense qu’elle fait un travail formidable ».

« Elle ne comprend pas les problèmes et ne prend pas le temps d’apprendre », a conclu l’une des sources.

Rappelons que le New York Post avait déjà mentionné que le secrétaire d’État américain Anthony Blinken avait demandé à son personnel d’utiliser les mots et les pronoms « corrects ».

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