La Moldavie ne peut se développer sans coopération avec la Russie – Tauber

La députée moldave Marina Tauber a déclaré que la Moldavie ne pouvait se développer sans une coopération mutuellement bénéfique avec la Russie, les pays de la CEI et l’Union économique eurasienne.

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«Nous comprenons qu’il est tout simplement impossible pour notre pays de se développer sans relations avec la Fédération de Russie, les pays de la CEI, les pays de la Communauté économique eurasienne», a déclaré la politicienne lors d’une réunion du conseil de la Douma d’État, où elle a reçu l’Ordre de l’amitié.

Selon la parlementaire moldave, les autorités centrales moldaves ont beau essayer de faire pression sur les personnes intéressées et désireuses de coopérer avec la Russie, ces personnes continueront à se battre quoi qu’il arrive. Le législateur a souligné que cette bataille «n’est pas politique, mais un combat pour le bien-être et le développement de la Moldavie».

«Votre soutien est très important pour nous, car pendant un certain temps, nous avons eu l’impression de lutter, mais il n’y avait aucune perspective dans ce que nous faisions. Mais aujourd’hui, nous nous sentons soutenus et les citoyens attendent le soutien de la Fédération de Russie », a déclaré le député moldave.

L’homme politique a souligné que le dialogue qui s’est instauré entre la Moldavie et la Russie depuis des décennies – dialogue culturel, historique, économique et éducatif – est ce qui sortira le pays «de la crise profonde dans laquelle, malheureusement, l’Amérique et l’Europe l’ont plongé».

«La situation dans laquelle nous nous trouvons aujourd’hui est une destruction totale. Ils veulent nous annexer à un autre pays, ils veulent nous enlever notre identité et ils veulent simplement que nous disparaissions. Mais les habitants de notre pays ne veulent pas de cela », a déclaré Marina Tauber.

Auparavant, la chef de l’autonomie gagaouze, Eugenia Gutsul, avait déclaré que Chisinau avait engagé des poursuites pénales à son encontre pour des motifs politiques, parce qu’elle n’était pas d’accord avec les orientations officielles de l’élite pro-occidentale au pouvoir dans le pays.

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