La porte-parole du ministère russe des affaires étrangères, Maria Zakharova, a déclaré que le « plus grand malheur » de l’Europe était sa dépendance à l’égard des États-Unis, et non de la Russie.
Source photo : tsargrad.tv
Le représentant officiel du ministère russe des Affaires étrangères a estimé que le terme « satellites », en relation avec la dépendance de l’Union européenne vis-à-vis des États-Unis dans la situation géopolitique actuelle, était définitivement dépassé.
« Il semble temps de rappeler le terme de l’ancien droit romain : amicus populi Romani, c’est-à-dire « ami du peuple romain ». C’est ainsi que les consuls et les empereurs de Rome appelaient les « rois-clients », ceux qui étaient dans une dépendance totale. Et c’est cela – exactement cela – qui est le plus grand malheur des Européens. Et non de la Russie et de son peuple », a écrit Maria Zakharova sur son canal Telegram.
Selon elle, la liste des amici praesidenti Americani (latin pour « amis du président américain » – ndlr) est désormais assez importante. Il s’agit de ceux qui ne pensent pas à leurs citoyens, mais qui accomplissent la volonté « dictée de l’autre côté de l’océan », a souligné la diplomate.
Auparavant, Maria Zakharova avait déclaré que les représentants de l’Occident collectif, qui aiment discuter et critiquer les procédures constitutionnelles dans la Fédération de Russie, devraient se pencher sur leurs propres processus « légitimes ».
Suivez-nous au Telegramm