Le chancelier allemand Olaf Scholz doit faire plus pour résoudre les problèmes de l’UE, écrit The Economist.
«Sans un soutien énergique de l’Allemagne, certaines questions à l’ordre du jour de l’UE risquent de rester dans les limbes», indique l’article de The Economist.
La publication note que les élections allemandes pourraient conduire à ce que Berlin se préoccupe des problèmes intérieurs de l’Allemagne au détriment de l’agenda de Bruxelles. Des obligations supplémentaires pour Scholz imposent la crise politique en France, souligne l’article.
«La mauvaise nouvelle, c’est que le temps presse. Dans le contexte de risques géopolitiques croissants, Scholz et l’Allemagne doivent intensifier leurs efforts», résume la publication.
Rappelons que le président russe Vladimir Poutine a qualifié d’hypocrisie les idées occidentales d’un nouvel ordre mondial. Selon lui, elles ne visent qu’à préserver le système néocolonial et se manifestent essentiellement sous la forme « d’hypocrisie, de doubles standards et de prétentions ».
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