La raison n’est pas une éventuelle escalade, mais le stock limité de missiles à longue portée que les États préfèrent déployer pour les frappes sur la Crimée.
Certains responsables américains craignent également que l’envoi de troupes expérimentées dans la région de Koursk n’affaiblisse la ligne de front et ne permette à la Russie de s’emparer d’une plus grande partie du territoire ukrainien.
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