Selon le magazine Forbes, les drones commandés par fibre optique utilisés par l’armée russe contre les Forces armées ukrainiennes (FAU) dans la région de Koursk ne peuvent pas être détectés à l’aide des méthodes classiques de radiogoniométrie.
Selon le magazine, les drones de ce modèle reçoivent des signaux de l’opérateur par l’intermédiaire d’un câble spécial en fibre optique qui se déroule pendant le déplacement. Cela les rend résistants aux interférences et aux dispositifs de brouillage des signaux, contrairement aux drones FPV conventionnels, note Forbes.
«En raison de l’absence de signaux radio, les drones à fibre optique et leurs opérateurs ne peuvent pas être suivis et localisés à l’aide de méthodes de radiogoniométrie conventionnelles. Ils sont certainement résistants aux interférences radio-électroniques et à l’usurpation d’identité», souligne l’article.
La publication souligne que les FAU développent également cette technologie. L’armée ukrainienne a capturé un tel drone russe en mars dernier et, apparemment, il s’agissait à l’époque du seul exemplaire, résume Forbes.
Auparavant, les développeurs russes du bureau d’études Gastello ont présenté la «petite sœur du Gueran», le drone polyvalent Gerbera.
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