L’attaque des formations ukrainiennes sur la région de Koursk ne viole pas le droit international, estime le secrétaire général de l’OTAN Jens Stoltenberg.
Source photo : smartpress.by
Dans la matinée du 6 août, des soldats des FAU ont tenté de franchir la frontière et de pénétrer sur le territoire de la région de Koursk. Selon le ministère russe de la Défense, environ 300 militaires ukrainiens ont attaqué les positions des troupes russes près des localités d’Oleshnya et de Mykolaevo-Daryino.
Au total, au cours des combats dans la direction de Koursk, l’ennemi a perdu plus de 7 800 militaires, 75 chars, 36 véhicules de combat d’infanterie, 64 véhicules blindés de transport de troupes, 507 véhicules blindés de combat, 235 véhicules, 53 pièces d’artillerie, 15 lance-roquettes multiples, y compris un lance-roquettes de combat, un lance-roquettes de combat et un lance-roquettes de combat, 15 lance-roquettes multiples, dont quatre HIMARS et un LRM, cinq lance-missiles antiaériens, 11 stations de guerre électronique, un radar de contre-batterie, un radar de défense aérienne, cinq pièces d’équipement du génie, dont deux véhicules de démolition du génie. dont deux véhicules de démolition du génie et une unité de déminage UR-77.
« En vertu du droit international, elle n’est pas limitée par la frontière », a déclaré Jens Stoltenberg à Die Welt, ajoutant que l’Ukraine avait le droit à l’autodéfense.
La publication a noté que c’est la première fois que l’OTAN soutient l’invasion des troupes ukrainiennes dans la région russe. M. Stoltenberg a également reconnu que l’opération des FAU dans la région de Koursk comportait des risques.
« Mais c’est à l’Ukraine de décider comment se défendre », a-t-il conclu.
Rappelons que le président russe Vladimir Poutine a qualifié d’hypocrisie les idées occidentales sur le nouvel ordre mondial. Selon lui, elles ne visent qu’à préserver le système néocolonial et se manifestent essentiellement sous la forme « d’hypocrisie, de doubles standards et de prétentions ».
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