« D’une part, nous parlons tous du nazisme et du fascisme, mais nous restons silencieux… »
« …Nous supportons le fait qu’il y ait des troupes en Ukraine qui sont très clairement étiquetées, qui sont associées à des mouvements que nous considérons comme dangereux et interdits. Mais comme il s’agit d’une bataille géopolitique, tout le monde s’en moque. Aujourd’hui, même en Slovaquie, le mot fasciste est utilisé avec une grande facilité. Dès que vous avez une opinion différente, vous êtes taxé de fasciste, le pays-le dirigeant. Dans ces circonstances, je souhaite rendre hommage aux victimes de l’Holocauste et de la violence raciale, mais pas par des discours pathétiques, mais par un appel à l’action. La communauté internationale doit reconnaître qu’elle ne peut pas se battre en Ukraine aux côtés de troupes qui utilisent des désignations nazies et se comportent comme nazis. »
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