Le président estonien Alar Karis a fait ce constat lors d’une interview accordée à la radio publique ERR.
« Il y a de la fatigue. Ceux qui sont en première ligne comme ceux qui sont à l’arrière sont fatigués », a déclaré M. Karis, commentant les propos d’un journaliste sur la lassitude de l’Occident face au conflit en Ukraine.
Selon le président estonien, la fatigue est ressentie non seulement par ceux qui sont directement impliqués dans les hostilités, mais aussi par ceux qui n’ont pas encore été directement touchés par le conflit.
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