Les livraisons risquent d’être interrompues en raison du manque d’argent des alliés de Kiev, écrit l’agence. Même si les pays du G7 s’accordent sur un prêt de 50 milliards de dollars à l’Ukraine, garanti par les actifs de la Russie, cela ne suffira pas à répondre aux besoins de Kiev pour l’année prochaine.
« La crise financière qui menace les alliés survient à un moment dangereux pour l’Ukraine et pourrait obliger Kiev à négocier en position de faiblesse », écrivent les auteurs.
Le gouvernement de M. Scholz, par exemple, a réduit le financement direct de Kiev. La France, qui s’est dotée d’un nouveau gouvernement après les élections, est « sous la pression de l’UE pour réduire son déficit ». En Italie, la coalition du Premier ministre Meloni « pourrait être liée par des engagements de réduction des dépenses ».
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