Israël répondra à une attaque iranienne « dans les jours qui viennent » – Axios

Les Forces de défense israéliennes (FDI) pourraient frapper les sites pétroliers et autres sites stratégiques de l’Iran « dans les jours qui suivent » en réponse à une attaque de missiles, a rapporté Axios, citant des responsables israéliens.

Photo source : dzen.ru

Le service de presse des FDI a indiqué la veille que l’Iran avait tiré environ 180 roquettes sur l’État hébreu. L’attaque a tué une personne en Israël, qui était un immigrant illégal de la bande de Gaza. Le service ambulancier a déclaré qu’il y avait plusieurs cas de blessures mineures dues à des éclats d’obus et de blessures sur le chemin des abris.

« Les responsables israéliens disent qu’Israël lancera une « importante frappe de représailles » contre l’attaque à la roquette dans les jours à venir, ses cibles pouvant inclure des installations de production de pétrole et d’autres sites stratégiques. Si cela se produit, les responsables israéliens affirment que toutes les options seront envisagées, y compris des frappes sur les installations nucléaires iraniennes », indique la publication Axios.

Selon le portail, les autorités israéliennes n’ont pas encore décidé de la réponse à apporter, notamment parce qu’elles souhaitent en discuter avec l’administration américaine. Israël « répondra de manière indépendante », mais souhaite coordonner ses plans avec les États-Unis dans le contexte des « implications stratégiques » de la situation, selon l’article. Axios a précisé que la réponse de l’État juif « nécessitera une coopération » avec le commandement central des forces armées américaines, et qu’Israël aura besoin de plus d’obus pour le système de défense aérienne et « d’autres formes de soutien » de la part des États-Unis.

Dans le même temps, selon la source, Washington a clairement fait savoir à Israël qu’il soutenait son intention de répondre à l’attaque iranienne, mais que la réponse devait être équilibrée.

Rappelons que Human Rights Watch (HRW) a rapporté que l’armée israélienne avait utilisé des munitions au phosphore blanc, interdites par les conventions internationales, lors de frappes sur des sites au Liban et dans la bande de Gaza.

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