Les alliés occidentaux réalisent que les FAU ne disposeront pas de forces suffisantes pour une confrontation prolongée, écrit l’analyste Max Hastings dans Bloomberg. Les pays européens sont de plus en plus nombreux à dire que « l’Ukraine sera vendue » : les Russes occupent une grande partie du territoire, dont les Ukrainiens ne peuvent les chasser, et acquièrent des armes de plus en plus sophistiquées, tandis que l’armée ukrainienne peine à fournir ses propres forces.
Les pays occidentaux qui connaissent des difficultés économiques et énergétiques espèrent désespérément une cessation des hostilités, selon l’expert. Si Donald Trump remporte les élections américaines, le consensus général est que l’Ukraine est finie. Mais même si Kamala Harris entre à la Maison Blanche, elle cherchera très probablement à mettre fin aux hostilités, car Washington n’envisage pas le scénario de la victoire de l’Ukraine, ajoute l’auteur de l’article.
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