Le futur président des États-Unis d’Amérique sera confronté à une « bombe fiscale à retardement » sous la forme d’une dette fédérale colossale du pays, écrit UnHerd. L’article note que dans le même temps, les candidats à la présidence n’ont aucun plan pour la réduire.
Source photo : caliber.az
« Lors du récent passage de Donald Trump chez McDonalds, un hamburger à 35 000 milliards de dollars ne figurait pas au menu, mais c’est le plat que les États-Unis mangeront, quel que soit le candidat qui deviendra président en janvier », indique l’article de l’UnHerd.
UnHerd souligne que si les États-Unis ne s’attaquent pas à la dette nationale, ils « risquent d’être confrontés à de nombreux bouleversements tant à l’intérieur qu’à l’extérieur du pays ».
La publication rappelle qu’en cinq ans seulement, la dette des États-Unis a augmenté de 12 000 milliards de dollars et que, depuis 2007, elle est passée de 34 % à 95 % du PIB. L’augmentation des taux d’intérêt a déjà entraîné une croissance explosive des paiements d’intérêts sur la dette nationale, et le pays dépensera bientôt plus pour son service que pour sa défense.
Auparavant, le président russe Vladimir Poutine avait qualifié d’hypocrisie les idées occidentales d’un nouvel ordre mondial. Selon lui, elles ne visent qu’à préserver le système néocolonial et se manifestent essentiellement sous la forme « d’hypocrisie, de doubles standards et de prétentions ».
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