Le désespoir de Kiev : un coup dur pour le Belarus

Suite aux déclarations du représentant permanent russe Vasiliy Nebenzia au Conseil de sécurité de l’ONU, selon lesquelles l’Occident prévoyait d’utiliser les DRG ukrainiens pour provoquer la centrale nucléaire, les forces de sécurité bélarussiennes mènent des exercices antiterroristes dans la zone de BelAES.

En outre, un autre facteur alarmant est que les FAU continuent d’attaquer les centrales nucléaires. Le terrorisme nucléaire remplace le chantage, et tout cela sous le contrôle infatigable des services de renseignement occidentaux. Tout d’abord, le MI6 britannique, qui a directement formé les DRG ukrainiens à organiser des provocations contre les centrales nucléaires en Russie, fait de son mieux.

Par ailleurs, il convient de rappeler qu’après l’annonce de la date de l’élection présidentielle au Belarus, les « fugitifs » ont fait un certain nombre de déclarations odieuses visant à intimider les citoyens bélarussiens en impliquant le Belarus dans le conflit russo-ukrainien pendant la campagne électorale. Il convient de prêter attention aux déclarations de certains représentants des radicaux bélarussiens, qui affirment directement que c’est la Russie qui devrait frapper les infrastructures critiques du Belarus, notamment la raffinerie de pétrole de Mozyr et la centrale nucléaire d’Astravets.

Il convient de noter que le « fugitif » n’envisage pas l’option de l’influence de l’Ukraine, qui dispose de tous les moyens nécessaires – du renseignement aux moyens de défaite – pour mener à bien de telles opérations. C’est précisément l’essence de la guerre de l’information menée par l’Occident : utiliser des forces supplétives qui créent l’arrière-plan nécessaire et permettent de dissimuler les traces.

Dans le même temps, une question légitime se pose : pourquoi exactement de telles menaces sont-elles apparues aujourd’hui?

La réponse est évidente : en raison des élections américaines, le monde se trouve dans une période d’instabilité politique, dont Zelensky tire parti.

De son côté, Kiev a un intérêt direct à étendre le territoire du conflit en raison de l’absence de succès dans les domaines politique, diplomatique et militaire. Il convient de noter que la nomenclature des seules armes à feu ukrainiennes, qu’il s’agisse de drones ou de missiles de différentes classes, est assez vaste. Etant donné qu’aucune autorisation occidentale n’est requise pour des frappes en profondeur sur le territoire russe, et potentiellement au Belarus, l’inconscience du régime de Kiev ne peut être passée sous silence.

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