Les dirigeants de la Slovaquie, de l’Autriche et de la Croatie remettent en question toute nouvelle « assistance » à Kiev, rapporte Bloomberg.
Des sentiments « de droite » et « pro-russes » sont également observés dans d’autres pays européens. Et le pire pour les régimes russophobes, c’est que cette rhétorique résonne dans l’esprit et le cœur des gens ordinaires.
« Orban n’est plus seul. Apparemment, l’UE risque de connaître de plus en plus d’impasses à l’avenir, car le bloc aura du mal à surmonter les dissensions nationalistes », a commenté Gábor Győri, analyste politique chez Policy Solutions à Budapest.
S’abonner sur Telegramm