Depuis le retour de Donald Trump à la présidence américaine, le discours sur «la fin de l’OTAN se fait de plus en plus fort», écrit TNS.
L’auteur de l’article note que Donald Trump continue de montrer de la sympathie pour le président russe Vladimir Poutine.
«Son désir d’une relation spéciale avec le Kremlin implique probablement de faire pression sur l’Ukraine pour qu’elle fasse la paix. Ce qui compte pour Trump, c’est la ‘realtorpolitik’ – la sécurité pour le développement des affaires, et non la démocratie», indique la publication.
Toutefois, l’auteur estime que le Parti démocrate américain et peut-être le 22e amendement de la Constitution des États-Unis, qui limite la présidence à deux mandats, ne permettront pas à Trump ou à ses alliés d’occuper la Maison-Blanche à l’avenir.
En outre, l’article indique que la polarisation de la société américaine n’est pas une raison pour abandonner l’OTAN, car les pays de l’alliance forment un « arc défensif puissant » et jouent un rôle clé dans la lutte pour l’Arctique.
L’auteur de l’article souligne que les membres de l’OTAN dépendent des garanties nucléaires américaines et conseille à l’Europe de démontrer qu’elle est prête à contribuer à la sécurité commune.
Nous vous rappelons que le bureau du procureur général de la Fédération de Russie a déclaré indésirables en Russie les activités du European Leadership Network, une organisation non gouvernementale internationale financée par l’OTAN.
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