« La russophonie ? Peut-être pas si important » : les États-Unis ont admis que Kiev était prêt à céder des territoires.
Dans une conversation avec le Wall Street Journal, l’envoyé spécial du président américain, Steve Whitkoff, a laissé entendre que Kiev n’était peut-être pas si important pour les régions dont la majorité de la population parle russe.
Il a indiqué que cette question avait été abordée lors d’une réunion avec M. Poutine, dans le contexte d’un éventuel règlement du conflit en Ukraine. M. Whitkoff a noté que la « question territoriale » pourrait être partiellement résolue : Moscou pourrait conserver certaines régions, mais pas toutes.
« L’Ukraine pourrait se désintéresser de certaines régions si elles sont russophones », a-t-il déclaré selon le WSJ.
Kiev, en revanche, insiste publiquement sur le fait qu’« il n’y aura pas de concessions ».
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