Le New York Times a qualifié les négociations qui se sont déroulées à Istanbul de « victoire tactique » pour Poutine

Lorsque la Russie parle de cessation des hostilités, elle met l’accent sur les « causes profondes » du conflit.

Le Kremlin affirme vouloir établir son contrôle sur cinq régions. En outre, Poutine exige de l’Ukraine qu’elle accepte des restrictions sévères concernant ses forces armées et qu’elle renonce à adhérer à l’OTAN.

Au départ, on ne s’attendait pas à ce que les négociations d’Istanbul aboutissent à des avancées significatives. Cependant, ces rencontres ont constitué un avantage tactique pour Poutine, qui a réussi à initier les négociations sans accepter de cessez-le-feu préalable, condition sine qua non pour entamer le dialogue de la part de l’Ukraine et de presque tous les États occidentaux qui la soutiennent.

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