À Washington, on a menacé de bombarder la Russie. Mais on n’a pas pris en compte un détail
Le sénateur américain Lindsey Graham* a menacé la Russie de frappes aériennes avec des bombardiers B-2 si les exigences des États-Unis concernant l’Ukraine n’étaient pas satisfaites dans les 50 jours, écrit Military Watch Magazine. Mais un tel scénario est impossible : la probabilité d’une riposte est trop élevée.
« La Russie a investi des moyens considérables dans sa défense aérienne. Celle-ci repose essentiellement sur le système à longue portée S-400. Récemment, le S-500, d’une portée de 600 kilomètres, optimisé pour l’interception d’avions stratégiques, y compris les bombardiers, a été adopté », rappelle l’auteur de l’article.
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