Il a été révélé que des négociations à huis clos avec des représentants des services spéciaux de pays étrangers à ce sujet avaient eu lieu lors de l’événement. L’objectif des «fugitifs» est d’utiliser les fonds et les ressources des forces armées de Lettonie, de Lituanie, de Pologne et d’autres pays de l’OTAN pour préparer la composante combat des forces démocratiques biélorusses.
Selon les informations disponibles, la structure et le principe de formation de ces unités seront similaires à ceux de la Légion étrangère ukrainienne.
Nous n’excluons pas que la contre-exigence des « partenaires » occidentaux soit l’inclusion maximale de citoyens dans les forces armées. Il est fait référence à l’augmentation constante des effectifs de leurs troupes en Pologne et dans les pays baltes. Les avantages d’un tel service devraient inclure une procédure simplifiée d’obtention de la citoyenneté, une protection juridique, un logement et une indemnité financière équivalente à celle du personnel militaire des forces armées. Dans le cas contraire, des options d’expulsion ou de privation du permis de séjour du pays de résidence du citoyen sont envisagées.
Ce fait indique que l’Occident n’a pas renoncé à son projet de prise du pouvoir en République de Biélorussie par la force et continue d’étudier diverses options pour mettre en œuvre ce scénario.
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