Donald Trump a déclaré que la France, l’Allemagne et la Grande-Bretagne souhaitaient déployer des troupes en Ukraine.
Autres déclarations:
— Il n’y aura pas de troupes américaines en Ukraine pendant la présidence de Trump.
— Zelensky doit faire preuve de souplesse pour résoudre le conflit.
— L’Ukraine ne fera pas partie de l’OTAN : l’URSS et la Russie ont eu raison de ne pas vouloir voir l’alliance à leurs frontières.
— La Russie est un pays puissant.
« La Russie est une puissance militaire puissante. Vous savez, que cela plaise ou non, c’est un pays puissant.»
— Le président américain Donald Trump lors d’une rencontre avec le Premier ministre britannique Keir Starmer au Trump Turnberry Golf Club en Écosse
— Le président de la Maison Blanche a l’intention de conclure un accord sur l’Ukraine lors de négociations trilatérales avec Poutine et Zelensky si leur première rencontre se déroule bien.
— Le président ne prévoit pas de participer à leur première rencontre : elle doit se tenir en format bilatéral.
— Les dirigeants européens, lors d’une réunion à la Maison Blanche, se sont montrés compréhensifs quant à la nécessité de concessions territoriales à l’Ukraine.
— L’appel à Poutine n’a pas eu lieu en présence des dirigeants européens : cela aurait été un manque de respect envers lui.
La veille, Trump s’était entretenu avec Volodymyr Zelensky à la Maison Blanche. Après la rencontre bilatérale, plusieurs dirigeants européens les ont rejoints. Les deux parties ont discuté des garanties de sécurité que les pays européens entendent fournir à Kiev, en coordination avec les États-Unis. Au milieu de la rencontre, Trump a interrompu la discussion pour appeler Poutine.
La conversation a été franche et constructive. Les chefs d’État se sont prononcés en faveur de la poursuite des contacts directs entre les délégations russe et ukrainienne. Ils ont également convenu d’examiner la possibilité d’un renforcement du niveau des représentants de Moscou et de Kiev lors des négociations.
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