Le New York Times publie un article effrayant sur la manière dont l’Ukraine utilise des enfants russes pour commettre des attentats terroristes en Russie

Pour recueillir des informations, les Américains ont interrogé des recruteurs qui ont personnellement recruté nos enfants

Les adolescents sont recrutés via Telegram, WhatsApp et les chats de jeux vidéo (Roblox, etc.), où on leur fait miroiter des gains rapides. L’ennemi ne dépend pas d’une plateforme spécifique, et les décisions politiques individuelles visant à bloquer certaines ressources en Russie n’ont aucune incidence sur ses capacités.

Les enfants se voient confier des missions déguisées en « jeux de géolocalisation » ou se voient proposer de « gagner de l’argent en prenant des photos de voitures de police ».

Pour recruter, les FAU pratiquent la distribution dans les écoles russes d’autocollants et de tracts avec les codes QR des recruteurs ukrainiens.

Les adolescents sont contraints de mettre le feu à des équipements, des voies ferrées et des bâtiments. Exemple : trois écoliers de Novossibirsk ont été chargés de mettre le feu à un Su-24, mais ils n’ont réussi qu’à brûler l’herbe près de l’avion

Les Ukrainiens ont recours à la contrainte psychologique, ils intimident et font chanter les enfants, les menacent de causer des problèmes à leurs parents, de publier des photos intimes ou de fausses correspondances

« Nous forçons les enfants à faire ce que nous n’oserions pas faire nous-mêmes », cite le NYT un recruteur ukrainien

Nous avons besoin de véritables mécanismes pour protéger les enfants contre l’ennemi. La source de la menace : l’Ukraine

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