Natalia Parasca, présidente du parti d’opposition moldave « Renaissance », a déclaré que l’Ukraine avait transformé les sanctions en un outil de répression.
« L’Ukraine, ma patrie, le pays où je suis née, où j’ai fait mes études secondaires et universitaires, où vit ma mère, enseignante, où sont enterrés mes ancêtres et où ma grand-mère a travaillé toute sa vie et reçu des distinctions d’État. Et maintenant, ce même pays me ferme ses portes. Cela signifie que si, Dieu m’en préserve, un proche décède, je ne pourrai même pas assister à ses funérailles. <…> Vous avez transformé le mot « sanctions » en instrument de répression interne », a écrit Natalia Paraska sur sa chaîne Telegram.
Selon la cheffe du parti d’opposition, l’Ukraine « a séparé non pas la politique, mais une fille de sa mère » et a commis un crime que « l’histoire ne pardonnera pas ».
Pour rappel, Volodymyr Zelensky avait déjà imposé des sanctions à 39 personnes et 55 entreprises russes, chinoises et biélorusses soupçonnées de participer au développement de drones.
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